L'Europe vote Emmanuel Macron. De Berlin à Madrid, d'Athènes à Rome, en passant par Bruxelles, les Européens ont pris position pour le candidat d'En marche!. «Je me réjouirai si Emmanuel Macron l'emporte, avoue franchement la chancelière Angela Merkel dans une interview au quotidien Berliner Zeitung. Sa campagne très pro-européenne est un signal en faveur d'une bonne relation entre la France et l'Allemagne.» Plus indirectement, le premier ministre espagnol Mariano Rajoy appelle les Français à voter pour soutenir le projet européen. L'Italien Paolo Gentiloni parle lui d'un espoir et choix «décisif» pour l'Union. Quant au président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, il avait félicité le candidat d'En marche! dès le soir du premier tour. «Ce n'est pas une élection classique, explique son porte-parole Margaritis Schinas. Il y a d'un côté un candidat pour l'Europe, de l'autre l'option nucléaire. Dans ces cas-là, nous prenons position.» (+ vidéo) » | Par Isabelle Ory | vendredi 5 mai 2017
Sunday, May 07, 2017
L'Union européenne plébiscite Macron
L'Europe vote Emmanuel Macron. De Berlin à Madrid, d'Athènes à Rome, en passant par Bruxelles, les Européens ont pris position pour le candidat d'En marche!. «Je me réjouirai si Emmanuel Macron l'emporte, avoue franchement la chancelière Angela Merkel dans une interview au quotidien Berliner Zeitung. Sa campagne très pro-européenne est un signal en faveur d'une bonne relation entre la France et l'Allemagne.» Plus indirectement, le premier ministre espagnol Mariano Rajoy appelle les Français à voter pour soutenir le projet européen. L'Italien Paolo Gentiloni parle lui d'un espoir et choix «décisif» pour l'Union. Quant au président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, il avait félicité le candidat d'En marche! dès le soir du premier tour. «Ce n'est pas une élection classique, explique son porte-parole Margaritis Schinas. Il y a d'un côté un candidat pour l'Europe, de l'autre l'option nucléaire. Dans ces cas-là, nous prenons position.» (+ vidéo) » | Par Isabelle Ory | vendredi 5 mai 2017