L’EXPRESS.fr: Le Premier ministre grec a laissé entendre en fin de journée que le référendum n'aurait finalement pas lieu. Les pressions exercées de toutes part auront donc eu raison de lui. Récit d'une journée extraordinaire.
Une journée en enfer pour le premier ministre grec. En l'espace de quelques heures, des pressions venues de l'Europe, de l'opposition, et même de son propre parti ont forcé Georges Papandréou à prendre le chemin de l'abandon du référendum sur le plan d'aide européen qu'il avait annoncé avec fracas ce mardi. Car depuis 48h, ce choix de consulter le peuple empoisonne ses relations avec l'Europe entière et avec les membres de sa propre majorité. Retour sur une spectaculaire volte-face. » | Ali Bekhtaoui | jeudi 03 novembre 2011