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Tuesday, December 14, 2021

Valérie Pécresse: Part-Thatcher, Part-Merkel and Wants to Run France

Valérie Pécresse (left) currently heads France's most populous Île-de-France region | GETTY IMAGES

BBC: France's traditional right-wing Republicans party is preparing to fight for its life in the presidential election next spring. Its surprise choice of Valérie Pécresse as candidate has boosted the party, with a new opinion poll suggesting she could beat Emmanuel Macron to become France's first female president.

You know you're making headway as a female politician when people start analysing your clothes.

For Valérie Pécresse, it began with a red jacket, worn for her victory speech after winning the nomination for Les Républicains.

One daily newspaper even asked fashion historians to decrypt it.

"This red jacket was chosen to distinguish her from the crowd," one said. "It's the colour of power."

Another described it as evoking "warrior spirit [and] blood".

Just a few days later, a poll by Elabe suggested that, if the election were held today, Valérie Pécresse would beat President Macron in a run-off vote by 52% to 48%.

That's encouraging news for a party that's been out of power for nine years, eaten away from one side by Mr Macron and from the other by France's far-right leader, Marine Le Pen. Her close ally and senator for Hauts-de-Seine, Roger Karoutchi, says Mrs Pécresse is a reassuring figure, because of her experience in running the Paris region with its 12 million inhabitants.

"It's not enough to be a woman; you have to be a stateswoman," he said. "[She] has been a minister, a deputy, a regional president. She has a proven track record on issues like secularism and security. She's extremely pugnacious: when she has a goal, she goes for it." » | Lucy Williamson, BBC Paris correspondent | Saturday, December 11, 2021

Présidentielle 2022 : la popularité de Valérie Pécresse en forte hausse, selon un sondage : La candidate LR à l'élection présidentielle est la deuxième personnalité préférée des Français, selon le baromètre Odoxa-Mascaret pour LCP-Assemblée nationale, Public Sénat et la presse régionale. »

Friday, October 14, 2016

French Conservatives Battle in TV Debate | DW News


France’s center-right Les Républicains party has begun the process of choosing a presidential candidate to run in this spring’s election. On Thursday, seven members of the party sparred in a live TV debate.

Saturday, July 02, 2016

France: Sarkozy Quits as Les Républicains Head, Setting Up Presidential Bid


Former president of France, Nicolas Sarkozy, told the Les Republicains party's National Council of his plans to quit as head of the organisation, setting up a potential bid for the presidency, in Paris on Saturday.

Thursday, November 15, 2012

Des républicains comparent l'affaire Benghazi au scandale du Watergate

LE POINT: L'ancien chef de la CIA, qui a démissionné vendredi, témoignera au Sénat sur l'attaque contre le consulat américain de Benghazi.

L'ancien chef de la CIA David Petraeus, qui a démissionné vendredi après la révélation d'une liaison avec sa biographe, témoignera auSénat sur l'attaque contre le consulat américain de Benghazi, une affaire que le républicain John McCain compare au scandale du Watergate. Le sénateur John McCain a indiqué à des journalistes mercredi que David Petraeus se rendrait bien en personne devant la commission du Renseignement du Sénat, répondant ainsi à la demande de parlementaires. La CIA n'a pas commenté ces informations. "Le général Petraeus, comme vous le savez, participera à l'audition devant la commission du Renseignement", a-t-il indiqué en conférence de presse, avant d'indiquer plus tard que cela aurait lieu lors de l'audition déjà programmée de jeudi. Mais la date précise de l'audition ne semblait toutefois pas définitivement calée, contrairement à ce que laissait entendre John McCain.

John McCain a appelé à la formation d'une commission parlementaire spéciale au Sénat pour enquêter sur les événements de Benghazi, dans lesquels l'ambassadeur et trois autres Américains ont été tués dans un assaut à l'arme lourde, le 11 septembre. "Il est essentiel que le Congrès conduise sa propre enquête indépendante. Je veux être parfaitement clair : l'administration n'a aucune crédibilité, pour la plupart d'entre nous, concernant les multiples controverses et contradictions soulevées dans la gestion de cette affaire", a lancé John McCain. » | Source AFP | jeudi 15 novembre 2012

Thursday, January 12, 2012

Obama accuse les républicains de vouloir défendre les riches «jusqu'à leur dernier souffle»

LIBÉRATION: Le président américain a entamé mercredi à Chicago une série de réunions de levée de fonds pour sa campagne présidentielle.

Le président Barack Obama a accusé mercredi ses adversaires républicains de vouloir défendre jusqu'à "leur dernier souffle" les allègements d'impôts hérités de son prédécesseur George W. Bush, face à ses partisans à Chicago (Illinois, Nord).

M. Obama, qui entamait une série de trois réunions de levée de fonds pour sa campagne dans son ancien fief, a affirmé que les républicains du Congrès et les candidats à l'investiture du parti pour la présidentielle du 6 novembre n'avaient pas de stratégie pour créer des emplois ou protéger la classe moyenne. » | AFP | mercredi 11 janvier 2012

Friday, October 28, 2011

Romney joue la carte du sérieux républicain

LE FIGARO: Face à Herman Cain et Rick Perry, l'ex-gouverneur paraît organisé et crédible.

Une foule souriante attend Mitt Romney devant l'immeuble de brique du Parti républicain de Fairfax, dans le nord de la Virginie. Une semaine après le passage de Barack Obama dans cet État crucial, qui avait voté démocrate en 2008 mais a ensuite élu le gouverneur conservateur Robert McDonnell, «Mitt» est venu soutenir les candidats républicains aux élections locales de novembre 2012.

En bras de chemise, silhouette élégante, cheveux bruns en arrière, sourire poli aux lèvres, Mitt Romney a l'allure du fils de famille qu'il est indéniablement. Son père était gouverneur du Michigan. Lui a fait carrière dans les affaires avant de remettre d'aplomb le Comité d'organisation des Jeux olympiques d'hiver de Salt Lake City, puis d'être élu gouverneur du Massachusetts de 2003 à 2007 -une performance dans le fief démocrate des Kennedy. Toute sa campagne consiste à mettre en avant son expérience de gestionnaire avisé. Ses débats télévisés, où il est apparu compétent, ont partiellement effacé l'image de «girouette» qui lui collait à la peau depuis la campagne de 2008. Tous les jours, son équipe, très rodée, publie en ligne des attaques précises contre ses adversaires.

Cette stratégie commence à payer. Mitt Romney est en tête des intentions de vote dans le New Hampshire et la Floride, et au coude-à-coude avec l'homme d'affaires afro-américain Herman Cain dans l'Iowa et la Caroline du Sud, des États clés qui tiendront leurs primaires très tôt. «Il va gagner la nomination, c'est sûr», affirme Bart Marcois, un ancien diplomate, volontaire à Fairfax. C'est «le seul capable de battre Barack Obama». » | Par Laure Mandeville | vendredi 28 octobre 2011

Sunday, August 15, 2010

Mosquée à Ground Zero: les républicains s'en prennent à Obama

Ground Zero mosque
«Je pense qu'il n'est pas judicieux de construire une mosquée à l'endroit où 3000 Américains ont perdu la vie après un attentat. Pour moi, cela montre que Washington, la Maison Blanche, l'administration et le président lui-même sont déconnectés» de la population, a ajouté le sénateur républicain du Texas, John Cornyn. Photo : Cyberpresse.ca

CYBERPRESSE: Plusieurs élus républicains sont revenus à la charge dimanche pour dénoncer les propos de Barack Obama défendant le droit de bâtir une mosquée près de Ground Zero, le présentant notamment comme «déconnecté» de la population.

«Il ne s'agit pas de liberté de culte, parce que nous respectons tous le droit que chacun a de prier selon sa conscience», a dit le sénateur républicain du Texas, John Cornyn, sur la chaîne Fox News Sunday.

«Mais je pense qu'il n'est pas judicieux de construire une mosquée à l'endroit où 3000 Américains ont perdu la vie après un attentat. Pour moi, cela montre que Washington, la Maison Blanche, l'administration et le président lui-même sont déconnectés» de la population, a ajouté l'élu.

À moins de trois mois des élections législatives de mi-mandat, et alors qu'une majorité d'Américains voient ce projet d'un mauvais oeil, M. Obama a défendu vendredi le droit de mener à bien ce projet controversé à proximité des lieux des attentats qui avaient fait quelque 3000 morts en 2001. >>> Agence France-Presse,
Washington | Dimanche 15 Août 2010

Wednesday, April 28, 2010

Les républicains bloquent à nouveau la réforme de Wall Street

CYBERPRESSE: Les adversaires républicains du président américain Barack Obama au Sénat américain ont rejeté mercredi pour la troisième journée consécutive l'ouverture des débats sur la réforme de la régulation financière.

Les élus ont voté pour ouvrir les débats à 56 voix contre 42, soit quatre voix de moins que les 60 voix nécessaires.

Lundi et mardi les chefs de la majorité avaient déjà échoué à rassembler les voix nécessaires pour l'ouverture des débat sur le projet de loi destiné à éviter une réitération de la crise financière de 2008 dans le système financier américain. >>> Agence France-Presse | Mercredi 28 Avril 2010

Saturday, September 19, 2009

Les Républicains fustigent
la «naïveté» d'Obama

Photo : Le Figaro

LE FIGARO: John McCain a donné le ton en qualifiant de « grave erreur » la décision prise par le président américain d'abandonner le bouclier antimissile.

C'EST par un concert de protestations que le camp républicain a accueilli vendredi la décision du président Barack Obama d'abandonner le projet de défense antimissile que son prédécesseur avait prévu d'installer en Europe de l'Est pour se prémunir contre une éventuelle menace iranienne. Parmi les premiers à s'indigner, le sénateur John McCain, ancien rival de Barack Obama et numéro un du parti conservateur à la commission des forces armées, a notamment tonné contre « une grave erreur » : « Elle remet en question la sécurité et l'en­gagement diplomatique des États-Unis envers la Pologne et la République tchèque et risque de saper la perception du leadership américain » chez ses alliés est-europé­ens.

Le chef de la minorité républicaine du Sénat, Mitch McConnell, a jugé à courte vue et nuisible de « tourner le dos à nos alliés dans la guerre contre le terrorisme », tandis que le numéro deux du Sénat, Jon Kyl, expliquait que cette initiative laisse les États-Unis « vulnérables à la menace grandissante des missiles de longue portée ».

Dans l'ensemble, les conservateurs accusent l'Administration Obama de sous-estimer la menace iranienne et de faire des concessions à l'Iran et la Russie, deux pays jugés agressifs, au détriment de ses vrais alliés. «Carterisation» >>> Laure Mandeville, correspondante du Figaro à Washington | Vendredi 18 Septembre 2009

Tuesday, August 25, 2009

Opposition à Obama : le réveil des républicains

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Des manifestants républicains, opposés aux réformes sur la santé proposées par l'Administration Obama, patientent devant l'hôtel de ville de Bellefonte (Pennsylvanie) le 12 août dernier, avant être reçuspar le sénateur Arlen Specter, ancien conservateur passé dans le camp démocrate. Crédits photo : Le Figaro

LE FIGARO: Avec le débat sur la réforme de la santé, l'opposition a flairé une occasion unique de détruire l'image d'Obama et de trouver un second souffle.

On disait les républicains «lessivés», voire «menacés d'extinction» à la manière de ce vieux parti Whig, qui disparut un jour des écrans radars de la politique américaine sans crier gare. Le triomphe de Barack Obama paraissait annoncer une longue et aride traversée du désert. Déstabilisé par le rejet épidermique de l'ère Bush qui parcourt la société, le Grand Old Party (GOP) en était réduit à remuer nostalgiquement ses souvenirs de la révolution conservatrice de l'époque Reagan, désormais vue comme un âge d'or.

Au mois de mai, la défection du sénateur républicain modéré Arlen Specter vers le camp démocrate, parce qu'«il ne trouvait plus sa place» dans un parti ayant viré à droite toute, accentua encore le sentiment de déroute. Ce départ «soulève de profondes questions sur la viabilité du Parti républicain», lança la sénatrice de droite centriste Olympia Snowe.

Mais soudain, cet été, avec la vague montante d'opposition à la réforme du système de santé lancée par l'Administration Obama, des vents plus cléments se sont mis à souffler sur le camp conservateur, qui se reprend à croire à un retour en grâce inespéré. >>> Par Laure Mandeville, correspondante à Washington | Mardi 25 Août 2009