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Thursday, August 18, 2022

En Russie, les outrances de Dmitri Medvedev, le faucon de Poutine

LE MONDE : Depuis le début de l’invasion de l’Ukraine, l’ex-président russe enchaîne les diatribes violentes et haineuses contre Kiev et ses alliés.

Dmitri Medvedev (deuxième à gauche) s’entretient avec le directeur du Service fédéral de sécurité (FSB), Alexandre Bortnikov (à gauche), Denis Pouchiline, le leader de la République populaire autoproclamée de Donetsk (de dos) et le ministre russe de l’intérieur, Vladimir Kolokoltsev, à Louhansk (Ukraine), le 11 août 2022. AP

Pas une semaine, ou presque, ne s’écoule sans que Dmitri Medvedev profère de nouvelles menaces. Tandis que Moscou et Kiev continuent à s’accuser mutuellement de bombardements inquiétants autour de la centrale nucléaire de Zaporijia, occupée par les forces russes, dans le sud de l’Ukraine, il écrivait, vendredi 12 août, sur son compte Telegram : « Les salopards de Kiev et leurs mécènes occidentaux semblent prêts à organiser un nouveau Tchernobyl. (…) Que puis-je dire… N’oublions pas que l’Union européenne possède également des centrales nucléaires. Et que des accidents y sont également possibles. » » | Par Isabelle Mandraud | jeudi 18 août 2022

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Monday, October 18, 2021

La Pologne et la Hongrie suspendues aux fonds européens

LE FIGARO : DÉCRYPTAGE - Dans leur bras de fer avec Bruxelles sur l’État de droit, les deux pays risquent gros: des milliards de subventions.

Attendu de pied ferme par un Parlement de Strasbourg très remonté, le premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, devrait l’assurer, ce mardi matin, de sa «loyauté» à l’Union européenne. Après l’arrêt du Tribunal constitutionnel du 7 octobre déclarant la primauté du droit polonais sur celui de l’UE, les eurodéputés pressent la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, de déclencher enfin la procédure «État de droit», qui priverait des précieux subsides communautaires les pays membres qui ne respectent pas les règles. » | Par Florentin Collomp | lundi 18 octobre 2021

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Der Mann für die grossen Überraschungen: Peter Marki-Zay fordert Ungarns Ministerpräsidenten Orban heraus: Der Bürgermeister einer Kleinstadt gewinnt unerwartet klar die oppositionellen Vorwahlen. Sein Konservatismus ist sein grosser Trumpf – und eine Quelle der Spannungen im heterogenen Parteienbündnis, das ihn unterstützt. »

Thursday, October 14, 2021

Brexit : des exigences britanniques inacceptables

LE MONDE : ace à la surenchère de Londres concernant la remise en cause de la compétence de la Cour de justice de l’Union européenne, l’UE doit rester ferme, tant pour sauvegarder la paix en Irlande que pour défendre le marché unique.

Editorial.
On croyait le cauchemar du Brexit terminé. Il n’en est rien. Tout juste deux ans après sa signature, le 17 octobre 2019, l’accord sur le divorce péniblement conclu entre le Royaume-uni et l’Union européenne est remis en cause par son principal promoteur, Boris Johnson. Le contentieux soulevé par Londres porte sur la mise en œuvre du « protocole nord-irlandais », un volet de l’accord qui prévoit l’instauration de contrôles douaniers pour les marchandises débarquant en Irlande du Nord en provenance de Grande-Bretagne afin de protéger le marché intérieur européen, auquel appartient toute l’île d’Irlande.

Instaurer une telle frontière de fait en mer d’Irlande était la seule solution pour éviter le rétablissement de la frontière entre les deux Irlandes supprimée par l’accord de paix de 1998. Les contrôles à l’entrée de l’Irlande du Nord, province du Royaume-Uni, résultaient également d’un choix net de M. Johnson : la sortie du Royaume-Uni de l’union douanière européenne. Sa prédécesseure, Theresa May, avait fait le choix inverse, précisément pour éviter une frontière en mer d’Irlande, option, affirmait-elle, qu’« aucun premier ministre britannique n’acceptera[it] jamais ». » | Éditorial, Le Monde | jeudi 14 octobre 2021

Brüssel und London lancieren riskanten Brexit-Poker um Nordirland: Sowohl die EU wie auch Grossbritannien wollen das Nordirland-Protokoll reformieren. Doch während Brüssel praktische Vorschläge für Handelserleichterungen präsentiert, wirft London Grundsatzfragen rund um EU-Richter auf. Erneut droht eine Konfrontation mit potenziell schwerwiegenden Folgen. »

Friday, November 20, 2015

Attentats de Paris : Bruxelles propose une agence européenne du renseignement


LE POINT: La création d'une telle centrale nécessiterait de modifier les traités de l'Union, et plusieurs pays membres, tels que l'Allemagne, n'ont pas caché leurs réticences.

Le commissaire européen chargé des Affaires intérieures, Dimitris Avramopoulos, a proposé vendredi la création d'une agence européenne du renseignement après les attentats de Paris, mais il a reconnu, devant les réticences de certains États membres, qu'il s'agissait d'un « idéal ». Après les attentats de Charlie Hebdo, en janvier à Paris, Dimitris Avramopoulos avait proposé de créer un centre antiterroriste au sein d'Europol, qui doit commencer à fonctionner au 1er janvier 2016. « Mais je crois qu'il est temps de faire un pas supplémentaire en avant et de créer la base d'une agence européenne du renseignement », a plaidé Dimitris Avramopoulos, alors que les attentats ont mis en lumière des failles dans la coopération entre services secrets. » | Source AFP | vendredi 20 novembre 2015

Thursday, September 17, 2015

Réfugiés : pour Hollande, Schengen est en danger

LE POINT: Pour le président de la République, il est très difficile d'imposer aux pays de l'Union européenne les mécanismes de répartition des réfugiés.

François Hollande a mis en garde jeudi contre les "dangers" qui menaceraient l'espace Schengen si un accord n'était pas trouvé en Europe sur l'accueil des réfugiés du Moyen-Orient, dans un entretien accordé à l'Agence France-Presse. Comme on lui demandait si l'espace Schengen de libre circulation était en danger, le chef de l'État a répondu : "Oui, s'il n'y a pas le mécanisme des centres d'enregistrement pour distinguer les réfugiés des migrants économiques et assurer la répartition des bénéficiaires du droit d'asile."

"Schengen serait en danger s'il n'y avait plus de contrôle des frontières extérieures" de l'Union européenne, a insisté le chef de l'État. Dans cette hypothèse, "les États vont rétablir d'une façon ou d'une autre des frontières nationales", a-t-il relevé. Selon lui, "on serait alors obligé de rétablir des postes de douane, de contrôle, également dans les moyens de transport, et ce serait la fin de Schengen au sens d'un espace contrôlé qui assurait la liberté de circulation". » | Le Point.fr | jeudi 17 septembre 2015

Thursday, September 10, 2015

Bruxelles veut que la Suisse accueille des réfugiés


TRIBUNE DE GENÈVE: La Commission européenne veut inclure la Suisse dans la répartition des réfugiés.

La Commission européenne souhaite que la Suisse participe à l'avenir à la clé de répartition permanente des réfugiés, en tant qu'Etat associé aux accords de Dublin. Mais un flou subsiste sur cette «obligation».

Dans sa proposition, adoptée jeudi par le Parlement européen, la Commission européenne prévoit de créer un mécanisme de répartition permanent et contraignant. Le texte fait référence à l'accord de Dublin passé avec quatre pays non-membres de l'UE, soit la Suisse, l'Islande, la Norvège et le Liechtenstein. » | jeudi 9 septembre 2015

Thursday, March 13, 2014

Crimée : Les États-Unis envisagent des mesures "très sérieuses" contre Moscou


LE POINT: Le secrétaire d'État américain John Kerry a annoncé que son pays, appuyé par l'Union européenne, apporterait "une réponse au référendum".

Les États-Unis et l'Union européenne sont prêts à prendre lundi des "mesures très sérieuses" visant Moscou pour répliquer au référendum de dimanche en Crimée qui doit entériner un rattachement à la Russie, a prévenu jeudi le secrétaire d'État John Kerry. "Il y aura une réponse au référendum et de surcroît s'il n'y a aucun signe d'avancées pour régler ce dossier, il y aura de très sérieuses mesures lundi en Europe et ici", a déclaré M. Kerry devant une commission du Sénat américain, à la veille d'une nouvelle rencontre vendredi à Londres avec son homologue russe Sergueï Lavrov. » | Source AFP | jeudi 13 mars 2014

Friday, November 15, 2013

Élections européennes : l'extrême droite se met en ordre de bataille

Marine Le Pen avec Geert Wilders

LE POINT: Les partis populistes et europhobes d'Europe se réunissent à Vienne en vue d'une alliance et de la création d'un groupe parlementaire à Strasbourg.

Plusieurs partis européens d'extrême droite se retrouvent vendredi à Vienne pour une rencontre informelle de travail en vue d'une éventuelle alliance pour les élections européennes de mai 2014, a indiqué vendredi le parti autrichien d'extrême droite FPÖ. "Il y a une réunion, mais elle n'est pas ouverte à la presse. Il s'agit d'une rencontre informelle de travail", a précisé à l'Agence France-Presse un porte-parole du FPÖ, refusant de donner des informations supplémentaires, notamment sur les partis qui seront représentés lors de cette réunion et sur le lieu où elle doit se tenir. (+ vidéo) » | Source AFP | vendredi 15 novembre 2013

Thursday, May 31, 2012

Europe : L'"union économique totale" ou la mort ?

LE POINT: José Manuel Barroso a proposé une thérapie de choc pour éviter la désintégration qui menace : l'union bancaire européenne.

Comment enrayer la contagion ? Comment faire en sorte qu'une "Grexit", la sortie de la Grèce de la zone euro, ne déclenche pas une "Spanic", une panique en Espagne ? Comment rétablir la confiance des marchés vis-à-vis des États, des Bourses vis-à-vis des entreprises, des Grecs ou des Espagnols vis-à-vis de leurs banques ? Ces questions sont à la base du remue-méninges qui continue d'agiter les dirigeants de la zone euro. » | De correspondant du Point à Bruxelles, Alain Franco | jeudi 31 mai 2012

Monday, April 23, 2012

Le score de Le Pen inquiète les dirigeants européens

LE FIGARO: Angela Merkel et plusieurs ministres européens des Affaires étrangères ont jugé lundi le résultat de Marine Le Pen «préoccupant», au lendemain du 1er tour de la présidentielle française.

Au-delà du duel serré entre les deux finalistes du second tour de l'élection présidentielle, Nicolas Sarkozy et François Hollande, c'est Marine Le Pen qui s'impose comme la troisième force politique du pays. Avec 17,9% des voix selon les résultats définitifs communiqués par le ministère de l'Intérieur lundi, le score de la candidate du Front national (FN) inquiète en France mais également au sein de l'Union européenne.

La chancelière allemande Angela Merkel a jugé «préoccupant» le score de l'extrême droite, rapporte un porte-parole du gouvernement allemand lundi. «Mais je suppose que cela va se régler au deuxième tour», a-t-il déclaré. La chancelière allemande «continue de soutenir» Nicolas Sarkozy, a ajouté le porte-parole. Il a toutefois souligné qu'Angela Merkel «travaillerait bien» avec n'importe quel président français.

De son côté, le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, s'est déclaré satisfait dans un communiqué de voir «deux candidats démocrates certifiés» au second tour. Il a réaffirmé l'importance du partenariat franco-allemand qui est «l'une des clés pour l'avenir de l'Europe». L'eurosceptique Marine Le Pen, qui estime que la France est pénalisée par l'Union européenne à cause notamment de la politique agricole commune (PAC) et de l'ouverture des frontières, se voit ainsi refuser par Guido Westerwelle l'étiquette de démocrate. » | Par Gary Assouline | lundi 23 avril 2012

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Tuesday, November 16, 2010

Pour Herman Van Rompuy, "la zone euro et l'Union européenne jouent leur survie"

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Herman Von Rompuy s'exprimait mardi sur les inquiétudes que suscitent l'Irlande, mais aussi le Portugal, le Grèce ou même l'Espagne, des pays handicapés par un déficit très important. Photo : Le Point

LE POINT: La zone euro et l'Union européenne tout entière avec elle ne "survivront pas" si les problèmes budgétaires actuels de certains pays ne sont pas résolus, a mis en garde mardi le président de l'UE, Herman Van Rompuy. "Nous sommes confrontés à une crise pour notre survie", a-t-il déclaré lors d'une intervention devant un centre de réflexion bruxellois, l'European Policy Center. "Nous devons tous travailler de concert afin de permettre à la zone euro de survivre. Car si la zone euro ne survit pas, l'Union européenne ne survivra pas non plus", a-t-il ajouté. "Mais j'ai confiance dans le fait que nous allons surmonter cela", a-t-il ajouté. >>> Source AFP | Mardi 16 Novembre 2010

Tuesday, May 18, 2010

Étude : Economiesuisse rejette l’adhésion à l’UE

LE TEMPS: L’organisme faîtier de l’économie a évalué six scénarios dans une étude, de l’isolement à l’adhésion européenne. Elle conclut qu’en vertu de nos particularités économiques et politiques, il n’y a pas d’alternative au bilatéralisme

Economiesuisse a étudié six scénarios de politique européenne dans des travaux débutés l’automne dernier et achevés en mars: l’isolement, la poursuite de la voie bilatérale, la voie bilatérale avec accord-cadre, l’adhésion à l’EEE, l’union douanière et l’adhésion à l’UE. Ses conclusions sont claires: l’organisation faîtière du patronat entend poursuivre sur la voie bilatérale, «la meilleure option pour les deux parties», a déclaré à la presse mardi à Zurich Pascal Gentinetta, président de la direction. >>> Emmanuel Garessus | Mardi 18 Mai 2010

Thursday, May 06, 2010

Comment Merkel et Sarkozy veulent sauver l'euro

LE FIGARO: Dans une lettre commune adressée aux présidents de la Commission européenne et de l'Union européenne, la chancelière allemande et le chef de l'Etat souhaitent «renforcer la surveillance budgétaire».

Angela Merkel et Nicolas Sarkozy reprennent l'initiative à la veille du Conseil européen des chefs d'Etat et de gouvernement. La chancelière allemande et le chef de l'Etat français ont appelé jeudi dans une lettre commune à «aller plus loin» et à «tirer les leçons de la crise» grecque afin «d'éviter qu'une crise de cette nature ne se reproduise».

Dans ce texte adressé à Herman Van Rompuy, président de l'Union européenne, et à Jose Manuel Barroso, président de la Commission européenne, ils détaillent comment «renforcer la gouvernance économique». L'enjeu ? «Préserver les acquis de la création de l'euro».

Les deux dirigeants réclament une véritable remise à plat du fonctionnement de la zone euro. D'abord sur la réforme du pacte de stabilité et de croissance qui a fait la preuve de son inefficacité : «Renforcement de la surveillance budgétaire», «élargissement» des critères de Maastricht «aux questions structurelles et de compétitivité» mais aussi «un cadre robuste pour la résolution des crises». >>> Par Guillaume Guichard | Jeudi 06 Mai 2010

Griechenland Desaster: Merkel und Sarkozy wollen die Eurozone retten

WELT ONLINE: In einem gemeinsam Brief an EU-Kommissionschef Barroso, der WELT ONLINE vorliegt, drängen Kanzlerin Merkel und Frankreichs Präsident Sarkozy auf radikale Maßnahmen zum Schutz der Eurozone. Helfen soll dabei der von Frankreich lange geforderte Ausbau einer europäischen Wirtschaftsregierung.

Unmittelbar vor dem EU-Gipfel am Freitag in Brüssel haben Kanzlerin Angela Merkel und Frankreichs Staatspräsident Nicolas Sarkozy die Initiative an sich gerissen: Nach dem Griechenland-Desaster wollen sie die Eurozone stabiler und krisenfester machen. >>> Von Christoph B. Schilz | Donnerstag, 06. Mai 2010

Tuesday, April 06, 2010

Erdogan : «Sarkozy doit venir voir la Turquie d'aujourd'hui»

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Recep Tayyip Erdogan : «Ceux qui ont pris la décision d'appliquer les sanctions contre l'Iran ont été les premiers à les violer». Photo : Le Figaro

LE FIGARO: INTERVIEW - Attendu en France mardi et mercredi, le premier ministre turc veut surmonter les désaccords sur l'adhésion de son pays à l'Union européenne et faire entendre sa voix sur la scène internationale.

Attendu mardi soir à Versailles pour la cérémonie de clôture de la Saison de la Turquie en France, le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan rencontrera mardi le président Sarkozy et son homologue François Fillon.

LE FIGARO. - La France et la Turquie ont des liens culturels forts. Quel message adressez-vous aux Français ?

Recep Tayyip ERDOGAN. - J'attache une grande importance à cette visite. Comme vous le savez, nous allons clore en France la Saison de la Turquie. Nos deux pays entretiennent des relations culturelles anciennes, visibles en Turquie notamment dans l'enseignement. À Istanbul, les lycées Galatasaray, Saint-Joseph, Saint-Benoît ou Notre-Dame-de-Sion en témoignent. Quant au système démocratique et laïque en Turquie, nous pouvons constater la forte influence de la France.

La France et l'Allemagne ne sont pas favorables à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne. Comment comptez-vous surmonter ces obstacles ?

Il serait plus exact de dire que certains Français sont sceptiques sur notre adhésion. Nous devons parvenir à modifier cette vision. Par le passé, j'ai travaillé avec M. Chirac et la situation était différente. Aujourd'hui, seul le leader a changé, le parti reste le même. J'ai donc du mal à comprendre pourquoi les choses se passent ainsi. J'espère que ma visite permettra de remédier à cela.

Comme vous le savez, Angela Merkel se trouvait à Ankara la semaine dernière. Selon moi, sa visite a été fructueuse. C'est la deuxième fois qu'elle vient depuis 2006. M. Sarkozy, lui, n'est toujours pas venu. Il raconte sans cesse un voyage qu'il a effectué dans sa jeunesse. Il doit venir voir à quoi ressemble la Turquie d'aujourd'hui. Lors de ma visite en France, je vais dire au président Sarkozy que nous l'attendons très prochainement en Turquie. Il faut se rendre sur place pour constater que la Turquie devance de nombreux pays de l'Union européenne dans plusieurs domaines.

Mais les opposants à cette adhésion estiment que votre pays serait un fardeau pour l'Union européenne…

Non seulement une Turquie dans l'UE ne sera pas une charge pour l'Europe, mais elle contribuera à la soulager. L'Union européenne a accepté de nouveaux membres qui constituent un fardeau. Nos amis européens le savent. Ces pays ont été admis pour des raisons politiques et l'Union européenne en paye aujourd'hui le prix. Elle investit lourdement pour essayer de faire évoluer ces derniers arrivants. La Turquie, elle, est parvenue au même niveau par ses propres moyens. >>> Par Etienne Mougeotte et Laure Marchand | Lundi 05 Avril 2010

Beitrittsdebatte: Erdogan warnt EU davor, ein "Christenclub" zu sein

WELT ONLINE: Neue Wortmeldung von Recep Tayyip Erdogan in der Beitrittsdebatte: Die Türkei wolle keine Belastung für die Europäische Union sein, sagte der türkische Ministerpräsident. "Wenn sie uns in der EU nicht wollen, verlieren wir nichts. Dann entscheiden sie sich eben dafür, ein Christenclub zu sein."

„Die Türkei ist ein großes Land aber wir möchten der EU nicht zur Last fallen." Das hat der türkische Ministerpräsident Recep Tayyip Erdogan in Bosnien gesagt, wo er sich für einen zweitägigen Besuch aufhielt.

Vielmehr wolle sein Land dabei helfen, die bestehenden Probleme zu überwinden, sagte der türkische Regierungschef auf einer Pressekonferenz in Sarajevo. Die Türkei wolle ein „friedliches Europa“, in dem sie ihren Platz einnehmen könne. >>> AFP/fas | Dienstag, 06. April 2010

Thursday, December 10, 2009

L'Union européenne appelle Israël à partager Jérusalem

La seule voie d'une paix véritable est une négociation «pour résoudre le statut de Jérusalem comme future capitale de deux États», écrivent les ministres européens. Crédits photo : Le Figaro

LE FIGARO: Les vingt-sept ministres des Affaires étrangères ont choisi de rester flous dans la définition d'un futur État palestinien.

L'Union européenne appelle Israël à partager Jérusalem comme capitale conjointe de deux États hébreu et palestinien, dans un appel urgent à la négociation lancé mardi par les vingt-sept ministres des Affaires étrangères.

Au risque de braquer le gouvernement Nétanyahou et les partisans de l'unité de la ville sous férule israélienne, les Vingt-Sept assurent qu'ils «ne reconnaîtront aucun changement autre que négocié» au statut d'avant 1967, c'est-à-dire antérieur à l'annexion de Jérusalem-Est. La seule voie d'une paix véritable est une négociation «pour résoudre le statut de Jérusalem comme future capitale de deux États», écrivent les ministres dans leurs conclusions. >>> Jean-Jacques Mével, correspondant du Figaro à Bruxelles | Mardi 08 Décembre 2009

Saturday, November 21, 2009


La Belgique perd un précieux Premier ministre

L’EXPRESS.fr: L'Union européenne gagne un président, Herman Van Rompuy. Mais la Belgique devra renoncer à ce Premier ministre qui a su concilier les intérêts des Flamands et des Wallons, à défaut de les réconcilier durablement. La crise belge pourrait-elle ressurgir à cette occasion?

Ce vendredi matin, la Belgique est fière. Le tout premier président du Conseil européen a été choisi dans ce pays présent depuis le début dans l'aventure européenne: les Vingt-sept ont penché pour son Premier ministre chrétien-démocrate, Herman Van Rompuy. Consécration pour ce néerlandophone de 62 ans, considéré comme efficace et discret par ses compatriotes.

"Il joue un rôle important depuis près de 30 ans en Belgique, à la tête du parti démocrate-chrétien et flamand (CD&V) puis comme ministre du Budget et enfin comme Premier ministre. C'est normal que les Européens ne le connaissent pas encore, c'est un homme de l'ombre", explique Pierre Havaux, journaliste au Vif/L'Express.

A Bruxelles, Herman Van Rompuy est le "Sphinx". "Il ne se répand pas dans les médias, il y est allergique! Ne vous attendez pas à des déclarations flamboyantes... Mais ne vous y trompez pas, c'est un faux mou doté d'un humour cynique. Il a le sens du compromis, c'est dans ses gênes, il est Belge", ajoute le journaliste politique de l'hebdomadaire.

Ajoutez à cette savante alchimie une dose de lucidité: "Il sait parfaitement qu'on l'a choisi pour déminer le terrain et arrondir les angles, surtout pas pour faire de l'ombre à des figures comme Nicolas Sarkozy. Ca ne le dérange pas". Et vous obtiendrez le candidat idéal pour le poste européen dont les contours restent encore à définir. Bruxelles regrette déjà son "Sphinx" >>> Par Marie Simon | Vendredi 20 Novembre 2009

Tuesday, November 03, 2009

Union Européenne : Le Traité de Lisbonne validé, le président tchèque se retrouve isolé

Vaclav Klaus. Crédits photo : Le Temps

LE TEMPS: La Cour constitutionnelle tchèque a jugé mardi le Traité de Lisbonne conforme à la Loi fondamentale du pays, condition nécessaire à la ratification complète du traité et au choix du futur président de l’Europe. Ne reste plus maintenant qu’une ultime étape: la signature du texte par le très eurosceptique chef de l’Etat tchèque, Vaclav Klaus, qui pourrait apposer son paraphe dès aujourd’hui comme il a promis de le faire. Contraint et forcé.

Matinée de souffrance pour Vaclav Klaus. Résolument opposé au Traité de Lisbonne, qu’il continue de considérer comme une menace contre la souveraineté des Etats-membres de l’Union européenne, le très eurosceptique président tchèque va devoir le signer, contraint et forcé après sa validation mardi matin par la Cour constitutionnelle. Une décision très attendue qu’il s’est d’ailleurs bien gardé de commenter. >>> Richard Werly | Mardi 03 Novembre 2009

THE TELEGRAPH: Czech President Vaclav Klaus signs EU Lisbon Treaty into law: Vaclav Klaus, the Czech president, has signed the EU Lisbon Treaty into law after a court cleared the final legal obstacle standing in its way. >>> Bruno Waterfield, Brussels Correspondent | Tuesday, November 30, 2009

TIMES ONLINE: Tories on the spot as Czech leader signs Lisbon Treaty >>> Philippe Naughton and Philip Webster, Political Editor | Tuesday, November 03, 2009

Monday, October 05, 2009

Editorial : En Europe aussi, le référendum fait la force

LE TEMPS: L’Union européenne avait grandement besoin du «oui» irlandais. Après le «non» de juin 2008, une nouvelle défaite sortie des urnes aurait en effet relancé le débat sur la légitimité démocratique des institutions communautaires, et transformé Bruxelles en un parfait épouvantail à voix. Les «non» français et néerlandais de 2005, qui ont enterré le projet de Constitution, seraient revenus tels un boomerang. L’Union européenne, groggy, aurait dû batailler ferme pour se relever d’un pareil coup politique.

L’Irlande a fini par accepter le Traité de Lisbonne. Mais ne soyons pas aveugles. La crise qui a terrassé le «Tigre celtique» a joué un bien plus grand rôle dans le retournement de l’opinion irlandaise que la plupart des arguments raisonnés. A une différence toutefois: fort des garanties accordées par l’UE en matière de droit à la vie, de neutralité, de fiscalité et du droit pour chaque pays à disposer d’un commissaire européen, le gouvernement irlandais – bien qu’au plus bas dans les sondages – a pu convaincre. La pédagogie a façonné le vote utile. Les électeurs se sont sentis, sinon compris, du moins écoutés et capables d’influer. >>> Richard Werly | Lundi 05 Octobre 2009

Tuesday, July 28, 2009

La bombe grecque de l'immigration

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En Grèce, les immigrés arrivent désormais du monde entier. Photo: L’Express.fr

L’EXPRESS.fr: Avec ses milliers d'îles et ses 16 000 kilomètres de frontières, la Grèce attire chaque année un flot croissant de clandestins. Débordée par l'ampleur du phénomène, Athènes appelle à l'aide l'Union européenne.

Le visage collé aux barreaux de leur dortoir, un groupe de migrants afghans tente de profiter des quelques rayons de soleil. Murs couverts de graffitis, poste de télévision cassé, lits de fortune: le camp de rétention de l'île grecque de Lesbos a tout d'un cachot. Sous le regard vide des détenus, les policiers vont et viennent, cachés derrière des masques de protection. Certains pensionnaires seraient porteurs de maladies comme la tuberculose ou l'hépatite C.

L'été dernier, ils étaient presque un millier à s'entasser dans ces hangars bétonnés, conçus pour abriter 400 personnes. Une surpopulation qui illustre l'incapacité de la Grèce à faire face à l'explosion récente du nombre de sans-papiers arrivant sur son territoire.

Le pays tente tant bien que mal de protéger ses frontières, qui sont aussi celles de l'Europe. Mais, avec ses milliers d'îlots et son littoral de 16 000 kilomètres, la côte grecque est très poreuse et la tâche semble vaine. >>> Par Anne-Laure Buffard, Chine Labbé, Solenn Poullennec | Samedi 11 Juillet, mis à jour Mardi 21 Juillet 2009

Saturday, July 04, 2009

Répression en Iran: les pays de l'UE haussent le ton

TRIBUNE DE GENÈVE: BRUXELLES | Les pays de l'Union européenne convoquent tous les ambassadeurs ou chargés d'affaires iraniens pour protester contre la détention d'employés locaux de l'ambassade britannique à Téhéran.

La décision a été arrêtée lors d'une réunion d'ambassadeurs des 27 pays de l'UE à Bruxelles. "Nous allons convoquer les ambassadeurs iraniens dans l'Union européenne et nous examinerons comment la situation va évoluer la semaine prochaine concernant le personnel local de l'ambassade britannique", a souligné une source proche de la présidence suédoise de l'UE.

Pour la suite, "on garde toutes les options ouvertes", a-t-elle ajouté, dans une allusion aux autres mesures actuellement à l'étude au sein de l'Union européenne.

Il s'agit d'une part de restrictions sur l'octroi de visas à certains dignitaires iraniens, et d'autre part du rappel temporaire des ambassadeurs de l'UE en Iran.

Dans l'immédiat, le message qui sera transmis aux ambassadeurs d'Iran en Europe est que les Européens "sont tous solidaires avec les Britanniques", que le maintien en détention de personnels locaux de l'ambassade du Royaume-uni à Téhéran est "inacceptable" et qu'il s'agit d'une mesure affectant "toute l'Union européenne" et pas seulement le Royaume-uni, a indiqué une autre source diplomatique européenne. >>> AFP | Vendredi 03 Juillet 2009