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Sunday, March 20, 2022

Assad aux Emirats, étape-clé dans la normalisation du régime syrien

LE MONDE : La venue à Abou Dhabi du maître de Damas constitue sa première visite dans un pays arabe depuis le début du soulèvement en Syrie en mars 2011.

Rencontre entre le président syrien, Bachar Al-Assad, et le vice-premier ministre des Emirats arabes unis, le cheikh Mansour Ben Zayed Al Nahyane à Abou Dhabi, le 18 mars 2022. Photo fournie par la présidence syrienne. HASSAN AL MENHALI / PRESIDENCE SYRIENNE / AFP

C’est sa première visite dans un pays arabe depuis le déclenchement en 2011 du soulèvement qui a bien failli lui coûter son siège : le président syrien, Bachar Al-Assad, s’est rendu vendredi 18 mars aux Emirats arabes unis (EAU), où il s’est entretenu avec le dirigeant de fait de cette pétromonarchie, le prince héritier d’Abou Dhabi, Mohammed Ben Zayed. Ce déplacement constitue un pas important dans le sens d’une réintégration du maître de Damas sur la scène diplomatique arabe.

Traité comme un paria par la grande majorité des chancelleries de la planète, qui lui impute la destruction de son pays et la responsabilité de centaines de milliers de morts, Bachar Al-Assad n’était jusque-là sorti de Syrie, depuis 2011, que pour de brèves visites en Russie et en Iran, ses deux principaux alliés, dont l’aide militaire a été cruciale dans l’écrasement de la révolution. Coïncidence amère pour les opposants syriens, le voyage aux Emirats de leur bourreau est intervenu deux jours après la célébration du onzième anniversaire du début de la révolte, le 15 mars 2011. » | Par Benjamin Barthe | Samedi 19 mars 2022

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Sunday, January 23, 2022

Assad à la tête du trafic de captagon au Moyen-Orient

LE MONDE : Bachar al-Assad a développé la production industrielle de cette amphétamine en Syrie, afin de contourner les sanctions internationales et de consolider ses réseaux d’allégeance.

Lot de captagon intercepté en Arabie saoudite à bord de fruits importés du Liban (photo diffusée le 23 avril 2021 par l’agence de presse saoudienne)

Crimes contre l’humanité, crimes de guerre, massacres organisés, viols systématiques, campagnes de disparitions forcées, expulsion de populations entières, la liste est longue des crimes déjà imputés à Bachar al-Assad. Convaincu de son impunité, le dictateur syrien y a désormais ajouté le délit de production massive et de commercialisation agressive de stupéfiants. Le territoire syrien sous contrôle du régime Assad est en effet devenu la principale zone de production de captagon, une amphétamine dont l’Arabie saoudite constitue le premier marché mondial. Ce sont ensuite les réseaux affiliés au régime Assad qui, surtout à partir du Liban, se chargent d’acheminer les cargaisons de cette drogue vers la Péninsule arabique. » | Par jean-Pierre Filiu | dimanche 23 janvier 2022

À LIRE AUSSI :

Dubaï, le paradis perdu des narcotrafiquants européens : Après de longues années d’exil doré à Dubaï, des narcotrafiquants notoires ont été récemment extradés vers la France, l’Italie ou les Pays-Bas. »

Sunday, November 29, 2015

Fabius envisage pour la première fois une coopération avec le régime d'Assad contre Daech


leJDD.fr: Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a exclu, sur RTL, l'envoie de troupes au sol française, mais estime que "l'Armée syrienne libre (opposition), des forces arabes sunnites, et pourquoi pas des forces du régime" peuvent le faire.

Le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a pour la première fois envisagé vendredi que des forces du régime syrien puissent être associées à la lutte contre le groupe jihadiste Etat islamique (EI). » | Patxi Berhouet - leJDD.fr | vendredi 27 novembre 2015

Sunday, October 25, 2015

Assad accepterait une élection présidentielle


LE MATIN: SYRIE — Selon un député russe, le président syrien serait prêt à se soumettre à la vox populi. Mais sous conditions.

Le président syrien Bachar el-Assad s'est dit prêt à organiser une élection présidentielle en Syrie, a déclaré un député russe se trouvant à Damas. Toutefois, il faut que le pays ait auparavant été «libéré» des combattants du groupe Etat islamique (EI). » | ats/afp/nxp | dimanche 25 octobre 2015

Friday, October 02, 2015

Kampf um Syrien: Putin demütigt Obama


FRANKFURTER ALLGEMEINE: Russlands Präsident Putin lässt Stellungen der Rebellen in Syrien bombardieren. Damit beschämt er den zögernden amerikanischen Präsidenten Obama – und er markiert seinen Anspruch auf eine dauerhafte Präsenz im Nahen Osten. Ein Kommentar.

Das ist ein Wendepunkt in den Kriegen des Nahen Ostens: Erst hat Russland in Syrien eine neue Militärbasis aufgebaut, und nun bombardieren russische Kampfflugzeuge im Auftrag des syrischen Regimes Stellungen der Rebellen. Damit demütigt der russische Präsident Putin den zögernden amerikanischen Präsidenten Obama, und er markiert seinen Anspruch auf eine dauerhafte Präsenz im Nahen Osten. Putin, gestärkt durch die Annexion der Krim, will nun das Regime von Machthaber Assad retten. Zwar hatte die russische Propaganda angekündigt, Krieg gegen den „Islamischen Staat“ zu führen. Die ersten Luftschläge dienten aber allein dazu, das von Assad kontrollierte Territorium zu arrondieren. Das beschleunigt den Zerfall Syriens in Kleinstaaten. Einer wird von Assad regiert und von Russland geschützt werden. So entsteht das Abchasien des Nahen Ostens. » | Von Rainer Hermann | Donnerstag, 1. Oktober 2015

Thursday, September 24, 2015

Poutine se prépare à des frappes en Syrie

Le président russe est prêt à agir seul en Syrie, si nécessaire.
LE MATIN: ETAT ISLAMIQUE — En cas de rejet par les Etats-Unis de sa proposition d'allier leurs forces, le président russe est prêt à bombarder les djihadistes.

La Russie a renforcé sa présence militaire dans le pays et se prépare à des frappes unilatérales contre l'Etat islamique (EI) . Elle a également accru ses livraisons d'armes à l'armée syrienne dans le cadre du renforcement de son soutien au président syrien Bachar el-Assad.

Selon Bloomberg, qui cite des personnes proches du dossier, Vladimir Poutine préférerait que le gouvernement américain et ses alliés acceptent de coordonner leur campagne de bombardements contre l'EI avec la Russie, l'Iran et l'armée syrienne. » | ats/nxp| jeudi 24 septembre 2015

Bürgerkrieg in Syrien: Merkel will Gespräche mit Diktator Assad


SPIEGEL ONLINE: Es wäre eine Kehrtwende in der Syrien-Politik des Westens: Kanzlerin Merkel bringt erstmals direkte Gespräche mit Diktator Assad ins Spiel. Genau das fordert auch Russland - und droht mit Luftschlägen.

Für eine Lösung des Syrien-Konflikts hält Bundeskanzlerin Angela Merkel (CDU) nun doch auch Gespräche mit Syriens Staatschef Baschar al-Assad für nötig. "Es muss mit vielen Akteuren gesprochen werden, dazu gehört auch Assad", sagte Merkel beim EU-Sondergipfel zur Flüchtlingskrise in Brüssel. Es müssten aber auch andere Akteure in der Region einbezogen werden wie Iran oder Saudi-Arabien.

Ein Zugehen auf Assad wäre eine Kehrtwende in der Syrien-Politik des Westens. Bisher lehnen insbesondere die USA eine Zusammenarbeit mit dem Diktator ab, Washington fordert seinen Sturz. Russland hingegen unterstützt Assad. » | kev/AFP/dpa/Reuters | Donnerstag, 24. September 2015

Wednesday, September 16, 2015

Bachar al-Assad accuse l'Occident sur les migrants

Le président syrien Bachar al-Assad.
LE MATIN: ETAT ISLAMIQUE — Le président syrien impute l'afflux de réfugiés syriens en Europe au soutien de l'Occident aux «terroristes» responsables selon lui de la guerre dans son pays.

«C'est comme si l'Occident pleurait d'un oeil sur les réfugiés et du second les visait avec une arme», a déclaré le chef de l'Etat syrien lors d'un entretien à des médias russes diffusé mercredi.

«L'Occident (...) soutient les terroristes depuis le début de la crise et (fait porter la responsabilité de ce qui se passe) sur le régime ou sur le président syrien», a-t-il souligné dans sa première réaction au drame des migrants en Europe.

Le régime de Damas désigne comme «terroristes» tous ses opposants: les dissidents politiques qui ont choisi la lutte pacifique, les rebelles qui ont pris les armes et les djihadistes dont ceux du groupe Etat islamique (EI). » | ats/nxp | mercredi 16 septembre 2015

Tuesday, May 26, 2015

Syrie : Bachar el-Assad bombarde Palmyre


LE POINT: L'aviation syrienne a mené lundi d'intenses raids sur la ville antique. L'EI a exécuté au moins 217 personnes depuis qu'il s'est emparé de la ville.

L'aviation syrienne a mené lundi d'intenses raids sur la ville antique de Palmyre et sa banlieue, prise jeudi par les djihadistes du groupe État islamique (EI), faisant au moins 4 tués civils, selon une ONG. "Depuis ce matin, l'aviation du régime a mené 15 raids sur Palmyre et sa banlieue.

Il s'agit des raids les plus intenses depuis la prise de la ville", a affirmé Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). "Il y a au moins quatre morts parmi les civils et des dizaines de blessés et c'est sûr qu'il y a aussi des morts parmi les djihadistes de Daesh (acronyme arabe de l'EI) lors du bombardement du bâtiment de la sécurité militaire, a-t-il ajouté. Les raids ont visé plusieurs endroits de la ville, connue en arabe sous le nom de Tadmor, notamment les secteurs de l'hôpital national et dans celui près du périmètre où se trouvent les antiquités gréco-romaines." » | Source AFP | dimanche 25 mai 2015

Saturday, December 27, 2014

Syrie : Damas prêt à rencontrer l'opposition à Moscou


LE POINT: La Russie, principale alliée du régime de Bachar el-Assad, pourrait accueillir "une conférence de dialogue entre Syriens sans ingérence étrangère".

Le régime syrien est prêt à rencontrer l'opposition à Moscou pour tenter de trouver une issue à la guerre qui ravage le pays depuis près de quatre ans, a annoncé samedi le ministère des Affaires étrangères.

"La Syrie est prête à participer à une rencontre préliminaire et consultative à Moscou pour répondre aux aspirations des Syriens qui sont celles de trouver une issue à la crise", indique une source non identifiée au sein du ministère dans ce communiqué, cité par l'agence officielle syrienne Sana. » | Source AFP | samedi 27 décembre 2014

Sunday, January 19, 2014

Assad exclut toute discussion sur son départ

TRIBUNE DE GENÈVE: A quelques jours de la conférence de Genève-2 à laquelle l'opposition a accepté de participer, Bachar al-Assad aurait affirmé qu'il ne se rendrait pas. Des propos rapidement démentis par la présidence syrienne.

La présidence syrienne a nié dimanche des déclarations attribuées au président Bachar al-Assad par l'agence russe Interfax, selon lesquelles il n'aurait aucune intention de quitter le pouvoir. Ces informations contradictoires interviennent alors que la conférence de paix Genève II se met péniblement en place. » | afp/ats/Newsnet | dimanche 19 janvier 2014

Saturday, October 05, 2013

Bachar al-Assad candidat en 2014 «si le peuple le veut»

TRIBUNE DE GENÈVE: Tandis que le président syrien sollicite un nouveau mandat, le commandement de l'Armée syrienne libre (ASL) a appelé samedi à l'unité des forces de résistance.

Le commandement de l'Armée syrienne libre (ASL) a appelé samedi à l'unité après le rejet par plusieurs groupes rebelles de l'autorité de la Coalition nationale de l'opposition.

Bachar al-Assad a, lui, annoncé qu'il serait candidat à l'élection présidentielle de 2014 si le peuple syrien le «voulait».

Le conseil militaire de l'ASL a indiqué dans un communiqué avoir décidé de «lancer un appel pour resserrer les rangs, renoncer aux divisions, et rejeter toutes formes de dissensions provoquées par les tentatives pour séparer l'aile politique de l'aile militaire». » | ats/Newsnet | samedi 05 octobre 2013

Thursday, September 12, 2013

Les rebelles syriens rejettent l'initiative russe


LA PRESSE: L'Armée syrienne libre (rebelles) a rejeté avec force jeudi la proposition russe prévoyant de placer les armes chimiques de la Syrie sous contrôle international, et demandé de juger les responsables du régime ayant «reconnu posséder» de telles armes.

«L'Armée syrienne libre annonce son rejet catégorique de l'initiative russe prévoyant de placer les armes chimiques sous contrôle international», a proclamé le chef militaire des rebelles, le général Sélim Idriss, dans une déclaration filmée et diffusée sur YouTube.


Après avoir menacé le régime syrien de frappes punitives pour une attaque chimique présumée, et cherché à s'assurer le soutien du Congrès pour les mener, le président américain Barack Obama a écarté pour le moment l'option militaire pour examiner l'initiative russe.

Cependant, le général Idriss a demandé à la communauté internationale de «ne pas se contenter de retirer (au régime syrien) l'arme chimique, l'outil du crime, mais de juger devant la Cour pénale internationale l'auteur du crime qui a reconnu clairement posséder cet outil et accepté de s'en défaire». » | Agence France-Presse, Beyrouth, Liban | jeudi 12 septembre 2013

Friday, September 06, 2013

Le président Hollande reproche au Figaro son entrevue avec Assad


LA PRESSE: Le président français François Hollande a reproché vendredi sur le mode ironique au quotidien Le Figaro d'avoir publié une interview du président syrien Bachar al-Assad dans laquelle ce dernier menaçait de s'en prendre aux «intérêts de la France».

Lors d'une conférence de presse à Saint-Pétersbourg où il participait au sommet du G20, le chef de l'État a fait, dans une réponse sur la Syrie, une incidente sur le Figaro. » | Agence France-Presse | Saint-Petersbourg, Russie | vendredi 06 septembre 2013

Thursday, September 05, 2013

L'Iran soutiendra la Syrie «jusqu'au bout»

LA PRESSE: L'Iran soutiendra «jusqu'au bout la Syrie» face à une éventuelle coalition menée par les États-Unis contre Damas, a affirmé le chef de la Force Qods, une unité d'élite des forces armées iraniennes, Ghassem Soleimani, cité jeudi dans la presse.

«Les États-Unis ne cherchent pas (...) à protéger les droits de l'homme en Syrie (...) Leur objectif est de détruire le front de la résistance (face à Israël). Nous soutiendrons jusqu'au bout la Syrie», a affirmé Ghassem Soleimani lors d'un discours devant l'Assemblée des experts, selon des propos rapportés par un des membres de cet organe consultatif.

Il n'a pas précisé la nature de ce soutien alors que l'Iran a toujours démenti avoir envoyé des forces militaires pour soutenir Bachar al-Assad. Mais le chef des Gardiens de la révolution, l'armée d'élite du régime iranien, avait admis en septembre 2012 que des membres de la Force Qods, chargée des opérations extérieures, étaient présents comme «conseillers» en Syrie et au Liban.

M. Soleimani a qualifié l'accusation américaine d'utilisation d'armes chimiques par le régime syrien le 21 août de «prétexte» pour renverser le président Bachar al-Assad. » | Agence France-Presse | Téhéran | jeudi 05 septembre 2013

Wednesday, September 04, 2013

Assad Warns of ‘Regional War’ in French Interview


FRANCE 24: Syrian President Bashar al-Assad told a French newspaper Monday that military intervention from France and the United States could set off a “powder keg” and “regional war”, while denying his forces had used chemical weapons.

Syrian President Bashar al-Assad told French daily Le Figaro Monday that the use of nerve gas against targets in rebel-held parts of Syria would have been “illogical”, while warning that an attack on his country could set off a “regional war”.

In excerpts of an interview to be published in full in Tuesday’s edition of the newspaper, Assad challenged French President François Hollande and US President Barack Obama to provide convincing proof that he had used weapons of mass destruction against his own people.

"Those who make accusations must show evidence,” he told Le Figaro. “We challenge the United States and France to do this. Obama and Hollande have been incapable of doing this, including for their own people.” (+ video) » | Tony Todd | Tuesday, September 03, 2013


Tuesday, September 03, 2013

Syrie - Hollande "renforcé dans sa détermination"


LE POINT: Le chef de l'État a tenu mardi à l'Élysée une conférence de presse commune avec le président allemand Joachim Gauck sur l'éventuelle intervention en Syrie.

François Hollande a déclaré mardi qu'il était "sorti encore renforcé dans (sa) détermination" de la lecture de l'interview dans Le Figaro du dirigeant syrien Bachar al-Assad. "J'ai lu dans un journal français l'entretien accordé par Bachar al-Assad" et publié mardi, a indiqué le chef de l'État lors d'une conférence de presse commune à l'Élysée avec le président de la République d'Allemagne, Joachim Gauck. "La différence entre une dictature et une démocratie, c'est que dans une démocratie un dictateur peut s'exprimer dans un journal, y compris pour insulter ses dirigeants, proférer des mensonges, notamment sur le chimique, laissant croire qu'il ne disposait pas de stock, et menacer le peuple français", a-t-il lancé. » | Source AFP | mardi 03 septembre 2013

Syrie : Bachar el-Assad menace la France

LE POINT: Le président syrien s'est confié au quotidien "Le Figaro". Il menace de "répercussions" sur les intérêts français en cas d'intervention.

Le président syrien Bachar el-Assad a mis en garde lundi contre le risque d'une "guerre régionale" en cas d'action militaire occidentale, alors que Washington et Paris tentent de convaincre leurs opinions de la nécessité de frapper le régime syrien accusé d'avoir utilisé des armes chimiques. "Le Moyen-Orient est un baril de poudre et le feu s'en approche aujourd'hui. (...) Tout le monde perdra le contrôle de la situation lorsque le baril de poudre explosera. Le chaos et l'extrémisme se répandront. Le risque d'une guerre régionale existe", a déclaré le président syrien au journal Le Figaro. » | Le Point.fr | mardi03 septembre 2013

Monday, September 02, 2013

Bashar al-Assad Interview: 'Show Me the Proof of Regime Chemical Attack'

THE DAILY TELEGRAPH: Bashar al-Assad challenged the West to provide "the slightest proof" he has used chemical weapons against his people in his first reaction to allegations that his forces killed more than 1,400 people in a gas attack on August 21.

The Syrian president issued a dire warning that any Western military intervention could lead to "regional war" and would harm "the interests of France".

"Whoever accuses must provide proof. We have challenged the United States and France to provide the slightest proof. (US President Barack) Obama and (French president François) Hollande have been incapable (of doing so) even to their own people," Assad told French newspaper Le Figaro in an exclusive interview.

He questioned the "logic" of claims that his forces carried the August 21 attack outside Damascus, which the US said killed 1,429 people.

"Supposing our army wishes to use weapons of mass destruction. Is it possible that it would do so in a zone where it is located and where (our) soldiers were wounded by these arms, as United Nations inspectors have noted during visits to hospitals where they were treated? Where is the logic?," he asked.

Describing the Middle East as a "powder keg" whose "fuse is getting shorter", he warned it would "explode" if Western forces struck Syria. "Nobody knows what will happen (after such strikes). Everyone will lose control of the situation when the powder keg explodes. Chaos and extremism will spread. The risk of a regional war exists," he warned. » | Henry Samuel, Paris and Jon Swaine in New York | Monday, September 02, 2013

LE FIGARO: La mise en garde d'Assad à la France » | Par Georges Malbrunot | lundi 02 septembre 2013

My comment:

All this talk of war, and absolutely no convincing proof of who perpetrated this crime against humanity in the first place. Cameron and Obama et al continue with their 'conviction' that it was Bashar Al-Assad. But was it? It could just as easily have been the rebels.

If Obama launches a war against Syria without convincing proof, and it turns out in years to come that it wasn't Bashar Al-Assad after all who perpetrated this crime, then Obama will be the war criminal.

It seems to me that we in the West need to step back from the brink, and assess the whole thing with a cool head.

What is to be achieved by striking Syria? What is to be achieved by toppling Bashar Al-Assad? I'll guarantee you now, if Bashar Al-Assad is toppled, Syria will become a haven of Islamic fundamentalists. It will be turned into a theocratic state à l'Iran, and the Christian community there will suffer greatly. Hasn't the West inflicted enough damage on the Christian communities of the Middle East already?

Then there is the problem of the possible escalation of conflict. The whole region will be turned into a war zone. And what guarantees do we have that this regional conflict won't spread westward, eastward, northward, and southward? World wars have been started by far less aggression.

Moreover, it seems to me that we need to listen to our senior military men. Some of them have come out firmly against military aggression already. – © Mark


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